Depuisquatre ans, en Haute-Loire, plus d’une centaine de personnes en difficulté participent à une quinzaine d’ateliers artistiques. Organisés par un collectif d'associations dont le Secours Catholique fait partie, ces ateliers ont pour objectif d'aider les participants à s’épanouir et à retrouver le goût du lien social. Vouspouvez également vous connecter sur L’Association des résidences et des foyers jeunes ( ARFJ) Enfin, si vous vivez en Ile-de-France, vous pouvez contactez l’ Association pour le logement des jeunes travailleurs ( ALJT), qui accueille et accompagne 8 800 jeunes par an dans ses 44 résidences. Partager : Lesassociations humanitaires : Certaines associations peuvent également vous aider à trouver une solution d’urgence. Certaines d’entre elles gèrent des centres d’hébergement pour personnes en grande difficulté : – www.secourspopulaire.fr – www.armeedusalut.fr – www.emmaus-france.org Grâceà une enquête réalisée auprès de 1 069 dirigeants de PME-ETI et 502 jeunes de 18-25 ans, l’étude met en lumière les points de convergence et de friction entre les deux groupes à travers 5 thématiques : le rapport au travail, l’environnement, la technologie, les modes de gouvernance et la dynamique sociale. 28 mars 2022. Associationhumanitaire, d'entraide, sociale Ouvert jusqu'à 16h30 Fondation Père Favron 80 boulevard Hubert Delisle BP 380 97410 Saint Pierre Voir le plan Reconnue d’utilité publique, la Fondation Père Favron accueille, accompagne et prend soin des enfants, adultes handicapés ou en grande difficulté sociale et des personnes âgées. BwMl. Les aides financières destinées aux femmes pour créer ou reprendre une entreprise La garantie ÉGALITÉ femmes Mis en place par France Active, ce dispositif national remplace le FGIF Fonds de garantie à l'initiative des femmes. Il permet de faciliter l'accès au crédit bancaire des femmes porteuses d’un projet de création, de reprise ou de développement d’entreprises. La garantie couvre jusqu’à 80 % d’un emprunt bancaire dans la limite d'un montant de 50 000 €. En savoir plus sur la garantie ÉGALITÉ femmes Le prêt d’honneur Initiative France Il s’agit d’un prêt d’honneur accordé sans demande de garantie personnelle ni intérêts par le réseau Initiative France. Il permet aux femmes entrepreneuses de renforcer leurs fonds propres et ainsi d’accéder plus facilement à des prêts plus importants. Sans remplacer l’emprunt, il permet d’en simplifier la démarche grâce à un effet de levier. Le montant du prêt d’honneur Initiative France dépend de la nature du projet et des besoins en fonds propres, mais en général il s'élève entre 3 000 à 50 000 €. La moyenne nationale se situe à 9 700 €. En savoir plus sur le prêt d'honneur Initiative France Wom'energy le programme d'entrepreneuriat au féminin Le Réseau Entreprendre est un réseau d'accompagnement mixte composé d'hommes et de femmes engagés pour la création d'emploi sur le territoire. Spécifiquement créé pour encourager l'entrepreneuriat au féminin, le programme Wom'energy a pour ambition de soutenir toutes les cheffes d'entreprise à tous les stades de développement et de croissance de leur projet, grâce à un accompagnement de paires à paires et un prêt d'honneur compris entre 15 000 et 50 000 €. En savoir plus sur le réseau Entreprendre Les dispositifs régionaux pour faciliter l’entrepreneuriat féminin Les Plans d’action régionaux pour l'entrepreneuriat des femmes PAR Depuis l’accord cadre de 2012 pour l’entrepreneuriat féminin conclu entre l’État et la Caisse des dépôts, des plans d’action locaux et régionaux se développent chaque année sur le territoire. Ils s’appuient sur les services centraux et les associations d’aide à la création d’entreprises afin d’évaluer les outils et dispositifs les plus appropriés à chaque zone géographique. Plus d'une vingtaine de régions ont déjà mis en place des plans d’action concrets pour soutenir la création-reprise d'entreprise par les femmes dans tous les secteurs, notamment l'industrie, le bâtiment, le numérique et l'innovation. Willa ex Paris Pionnières Anciennement Paris Pionnières, Willa est un incubateur de start-ups dédié aux femmes entrepreneuses. Cette structure apporte un accompagnement complet aux femmes souhaitant se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, qu’il s’agisse de mentoring, de bonnes pratiques ou encore de réseau. Les start-ups incubées se voient aussi offrir la possibilité d’être hébergées directement au sein de l’incubateur ou dans un lieu de co-working. WILLA, 1er accélérateur de mixité dans la tech, a accompagné depuis sa création le 8 mars 2005 plus de 530 startups fondées ou co-fondées par des femmes. En savoir plus sur Willa Le Réseau EFOIR Entreprendre au féminin, Océan indien – Réunion » L’association Entreprendre au Féminin Océan Indien-Réunion accompagne les femmes entrepreneuses basées dans cette région dans leurs projets de création ou de reprise d’entreprise. Pensé comme un réseau d’accompagnement et d’entraide, l’EFOIR agrège des cheffes d’entreprises qui partagent leur savoir et leur expérience. Le réseau EFOIR organise par ailleurs un concours – le prix Julie Mas – récompensant les meilleurs projets au féminin sur l'Île de la Réunion. En savoir plus sur le réseau EFOIR Les événements dédiés à l’entrepreneuriat féminin Les semaines de sensibilisation des jeunes à l'entrepreneuriat féminin Les semaines de sensibilisation à l’entrepreneuriat des femmes est un événement porté par le ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes. L'objectif est de sensibiliser les jeunes de 13 à 25 ans à la culture entrepreneuriale et la réussite au féminin. La 10ème édition de la semaine de sensibilisation à l'entrepreneuriat féminin aura lieu du 7 au 25 mars 2022. En savoir plus sur l'édition 2022 des semaines de l'entrepreneuriat féminin La journée de la femme digitale La journée de la femme digitale JFD est le rendez-vous féminin de l'innovation. L'objectif mettre à l'honneur les femmes cheffes d'entreprise ou occupant des postes de direction dans les nouvelles technologies. Dans ce cadre, le prix les Margaret récompense chaque année la créativité, l'innovation et l'audace de femmes digitales en Europe et en Afrique. Les lauréates bénéficieront de l'exposition médiatique de la JFD, de soutiens financiers, d'un accompagnement de développement et de communication, d'une valeur équivalente à 1 millions d'euros. La prochaine édition de la journée de la femme digitale - qui permettra de fêter les 10 ans de cette initiative - se tiendra le 8 mars 2022 sous le haut patronage du Président de la République. En savoir plus sur la journée de la femme digitale La journée des femmes entrepreneuses La journée des femmes entrepreneuses est organisée chaque année en marge du Salon SME, un événement ayant lieu à Paris et dédié aux dirigeants et créateurs de start-ups ou de TPE/PME. La journée de la femme entrepreneuse propose durant une journée de nombreuses conférences et ateliers pour encourager et accompagner les femmes porteuses d’un projet. Le Salon SME se tient chaque année, généralement à l'automne. En savoir plus sur le site du Salon SME De nombreuses associations accordent des aides aux familles en difficulté. Il est à noter que les aides octroyées peuvent être financières ou matérielles. Aide Familiale populaire Cette association a été créée en 1945 afin d’aider les familles en difficulté. Les bénévoles apportent leur aide notamment aux mères qui sont malades ou qui doivent travailler. Cet organisme aide également les chômeurs dans leurs... recherches d’emploi. L’Aide Familiale Populaire vient aussi en aide aux personnes âgées ou porteuses d’un handicap. Cette association prévoit également une aide à l’intégration scolaire des enfants handicapés. Sos Famille Emmaüs Membre du mouvement crée par l’Abbé Pierre, SOS Famille Emmaüs propose des solutions pour prévenir les situations de surendettement des particuliers. Les membres de cette association conseillent les personnes endettées afin qu’elles puissent améliorer leurs situations financières. SOS Famille Emmaüs accorde des avances remboursables sans frais ni intérêts. AGAF Durance Luberon AGAF Durance Luberon assiste les familles en difficulté. Les membres de l’association se rendent aux domiciles des familles dans le besoin. Ainsi ils peuvent effectuer les tâches ménagères. L’AGAF Durance Luberon vient également en aide aux personnes handicapées et aux personnes âgées. L’ADAF ou aide à domicile aux familles de Paris Cette association collabore avec la CAF, la CPAM, l’ASE ou encore la PMI. Ainsi, elle accorde des réductions ou des crédits d’impôt équivalents à 50% des charges engagées. Les départements Certains départements comme celui de la Loire-Atlantique accordent des aides financières aux familles en difficulté. L’Aide Enfance Famille a pour objectif de combler les revenus des parents afin qu’ils puissent subvenir aux besoins de leurs enfants. L’aide solidaire L’aide solidaire a été mise en place par le département Loire-Atlantique afin de satisfaire les besoins vitaux des familles en difficulté. L’Aide Solidaire est aussi accordée aux personnes ayant un projet d’insertion sociale ou professionnelle. Photo par wistechcolleges Creative Commons Et si vous faisiez don des meubles que vous n’utilisez plus ? Si vous souhaitez changer votre mobilier pour apporter un vent de fraîcheur à votre intérieur, sachez que des associations peuvent vous rendre service en réceptionnant vos vieux meubles et que vous leur rendez service par la même occasion. En effet, certaines associations peuvent venir récupérer des meubles chez vous en contrepartie du don de ces meubles. Un élan de générosité gagnant/gagnant pour les particuliers comme pour les associations ! On vous dit à quelle association ou structure faire don de meubles ! Faire don de vos anciens meubles Sachez que le don de meuble fait partie des moyens pour contribuer au bon fonctionnement des associations sans dépenser d’argent. Cela au même titre que le don de vêtement. Pas besoin d’être riche donc pour pouvoir aider les associations de façon concrète. Les associations et structures qui acceptent les dons de meubles Il existe de nombreuses structures qui acceptent les dons de meubles. Parmi les plus connues l’association caritative Emmaüs et la structure nationale les Ressourceries présente dans de nombreuses villes. Ces deux associations caritatives ont l’avantage de venir chercher les vieux meubles à votre domicile si besoin. Pour cela, il suffit de contacter l’association la plus proche de chez vous et de convenir d’un rendez-vous pour qu’une personne vienne récupérer les meubles chez vous. Vous pouvez bien évidemment déposer vos meubles directement dans les locaux des associations si vous possédez un moyen de locomotion. Il est recommandé de donner des meubles en bon état pour faciliter le travail des associations. Sachez également que de nombreuses déchetteries récoltent les vieux meubles pour les redistribuer aux associations dans un second temps. Vous pouvez contacter les déchetteries les plus proches de chez vous pour déterminer les lieux de récolte Le don de meuble pour les associations Les meubles ont un véritable intérêt pour les associations. Ces dernières peuvent réhabiliter les meubles abîmés et les donner aux personnes dans le besoin ou les revendre pour assurer le bon fonctionnement de l’association. Certaines associations prélèvent des pièces sur les meubles les plus défectueux. Ce qui n’est pas réutilisé ou employé est jeté et intègre la filière de recyclage des meubles Par la suite, les meubles customisés sont distribués généreusement aux gens dans le besoin ou vendus en boutiques pour financer le fonctionnement de l’association. Le don de meuble vous permet de donner une seconde vie à vos meubles et d’aider les associations et personnes dans le besoin. Un geste écologique et caritatif à la fois. Vous connaissez désormais les associations et structures qui font don de meubles. Faites le tour de votre domicile et repérez les meubles qui pourraient être utiles aux associations. Cela vous assurera un gain de place et procurera à une autre personne un gain de bonheur ! FMAT 2016. Atelier 5 Synthèse provisoire présentée en plénière le 1 avril. Rapporteur GATUNDU, Catherine, ActionAid, Kenya En ouverture, les participants ont rendu hommage à Berta Caceres, militante écologique et de la défense des peuples indigènes, assassinée à La Esperanza Honduras, le 3 mars 2016. Bilan Partout dans le monde, l’immense majorité des femmes fait face à des conditions d’accès et de contrôle de la terre et des ressources naturelles inégales à celles des hommes. Les rapports sociaux ont banalisé le fait qu’elles soient intégralement en charge du travail domestique et de l’éducation des enfants, charges qui les empêchent de se consacrer autant que les hommes aux activités agricoles. Dans les champs, elles sont les travailleuses obligées de la famille et assument les tâches souvent les moins valorisées, considérées comme un pan de leurs obligations domestiques. Elles n’en retirent donc généralement aucun revenu. Les règles coutumières de l’héritage perpétuent souvent l’inégalité. Dans certaines régions de Madagascar, par exemple, les femmes n’ont aucun droit sur l’héritage de leur père ou de leur mari. Dans les communautés indigènes et autochtones, l’héritage est souvent l’affaire des “anciens”, le plus souvent des hommes. L’exclusion des femmes de l’héritage des terres est parfois aussi prônée au nom de conceptions religieuses. Les institutions nationales reflètent ces structures patriarcales. De nombreux États renoncent à assurer l’égalité et l’inclusion sociale des femmes et continuent d’accorder une place secondaire aux problématiques de genre. Dans certains pays, il n’existe pas de données sur les femmes dans le domaine agricole, celles-ci ne portant que sur les familles et propriétés familiales. Les textes légaux concernant l’environnement et le développement ne considèrent pas toujours clairement le rôle des femmes. Généralement, elles ne bénéficient pas du statut d’agricultrices et ont moins accès aux crédits et équipements agricoles. Très souvent, les femmes n’ont pas de droit reconnu sur la terre. En Inde, seulement 12% des femmes sont propriétaires de leurs terres. La propriété ne leur est accessible qu’après la mort du mari. Lorsqu’elle est reconnue à leur communauté, la propriété collective est souvent la seule garantie d’un certain accès aux ressources. Elles sont donc les plus grandes victimes de la disparition de cette forme de propriété. Si un droit individuel à la terre et aux ressources naturelles leur est reconnu par la loi, elles ne sont généralement pas en mesure de supporter le coût des procédures administratives nécessaires à sa concrétisation opérations cadastrales, titrisation…. De la même manière, elles n’ont que rarement les moyens de valoriser pleinement leurs terres. Les mécanismes de marché qui s’appliquent aux droits fonciers, au travail, aux moyens de production et au crédit sont inefficaces pour assurer aux femmes un accès et un pouvoir de contrôle véritable sur les terres et les ressources naturelles. Elles sont minoritaires dans les organismes de représentation, au sein des organisations de la société civile et des processus décisionnels locaux, nationaux et internationaux. Ce que plusieurs panels du FMAT ont malheureusement reflété. Les postes de direction sont encore trop souvent entre les mains des hommes, ce qui compromet l’évolution de la condition des femmes. Dans le contexte actuel d’accaparement et concentration des terres et ressources naturelles par de moins en moins d’individus et entreprises, et d’éviction de la majorité des ruraux, les femmes sont ainsi doublement pénalisées. Le chemin est encore loin vers la mise en œuvre pleine et effective de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’encontre des femmes CEDAW, dont un des engagements spécifiques appelle à favoriser un accès et un contrôle des terres et autres moyens de production plus égalitaire pour les femmes. Engagement qui a été notamment réaffirmé dans les Objectifs de Développement Durable ODD. Une action politique forte en faveur des femmes est donc indispensable pour qu’elles puissent accéder aux ressources naturelles et les contrôler. L’accès à la terre et son contrôle par les femmes sont primordiaux pour leur émancipation, le bien-être des familles et, partant, pour la lutte contre la malnutrition et la pauvreté. Leur rôle dans le domaine agricole est essentiel. Elles assurent jusqu’à 70 % du travail dans l’agriculture familiale paysanne. Se faisant, elles sont les premières contributrices à la réalisation de la souveraineté et de la sécurité alimentaire. Propositions Les actions citoyennes doivent viser au renforcement des organisations de femmes, à la présence des femmes dans les organisations paysannes ainsi qu’à l’éducation des sociétés dans leur ensemble. Renforcer les mouvements de femmes et leur présence dans les organisations paysannes Promouvoir la formation juridique élémentaire des femmes afin qu’elles aient connaissance des textes juridiques existants les concernant, tels que la CEDAW, Leur assurer une représentation équitable dans les organisations paysannes et dans les luttes contre les accaparements des terres, pour veiller à ne pas reproduire les structures patriarcales, Renforcer les organisations de femmes existantes et soutenir la création de nouvelles là où la défense de leurs intérêts n’est pas organisée. Former des espaces de fédération au niveau national et international afin de faire entendre la voix commune des femmes rurales. Il a été proposé de s’appuyer sur les exemples de mouvements et d’actions de femmes présentés durant l’atelier tels que le réseau MAKAAM11 en Inde ou les marches des Marguerites organisées par la CONTAG12 au Brésil, lesquelles ont notamment permis que plus de 70% des terres de ce pays soient aujourd’hui en copropriété homme-femme. Éduquer les sociétés Sensibiliser sur toutes les formes violences faites aux femmes, Mesurer le travail “invisible” des femmes et le faire valoir au niveau communautaire et gouvernemental, Mettre en évidence leur potentiel majeur de contribution à la lutte contre l’accaparement des terres, à l’essor de l’agroécologie et ainsi à la lutte contre la pauvreté, la mal et sous nutrition et le changement climatique. Les revendications politiques portées par ces mouvements doivent viser l’adoption par les États des mesures politiques suivantes La protection des femmes contre les violences communautaires et institutionnelles, La pleine participation des femmes aux institutions gouvernementales, nationales et locales et aux prises de décisions, La mise en œuvre et la protection des droits des femmes notamment stipulés dans la CEDAW et notamment leur accès sécurisé à la terre et aux ressources naturelles et autres moyens de production et leur droit à contrôler l’utilisation qu’elles en font, ou encore la reconnaissance du statut d’agricultrices, L’accès des femmes aux crédits, subventions et allégements fiscaux afin de rendre possible et durable l’activité agricole des femmes. L’obligation de faire figurer le nom des femmes sur les documents matérialisant les droits fonciers propriété, usage, La reconnaissance du travail agricole réalisé par les femmes. Interventions La liste suivante n’est pas exhaustive. Nous nous excusons auprès des intervenants lors de cet atelier et des participants qui n’y trouvent pas leur nom, et vous invitons à vous manifester, à l’adresse suivante, pour nous permettre d’éditer une nouvelle version de cette synthèse avec la liste complète secretariat Interventions introductives BORQUEZ, Rita, PROCASUR, Chili ECHEVARRIA LEON, Dayma, Centre d’Études de l’Économie Cubaine, Cuba EL HADJI FAYE, Environnement et Développement du Tiers Monde, Protection naturelle des cultures ENDA PRONAT, Sénégal LUNAS COSTA, Alessandra, Confédération Nationale des Travailleurs Agricoles Confederação Nacional dos Trabalhadores na Agricultura, Brésil NITYA, Rao, École de Développement International, Université d’Est-Anglie, Royaume Uni RAVONIARISOA, Lilia, Federasiona ny Vehivavy Tantsaha eto Madagasikara, Madagascar Interventions des participants ANGULO GUTIERREZ, Elga Betty, Confédération paysanne Confederación Campesina Pérou BEL MOKTHAR, Siham, Agronome, Cabinet du Ministre, Cellule des Affaires Parlementaires, Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime, Maroc GAMBOA BELTETON, Klemen Guadalupe, Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture FAO, Délégation Amérique latine, Guatemala, HERNANDEZ, Veronica, Alliance des Organisations Forestières Communautaires Alianza de Organizaciones Forestales Comunitarias, Guatemala I MOBIN JINAH, Shah, directeur exécutif de l’Association pour le Développement Communautaire Community Development Association, CDA, Bangladesh MARTÍNEZ JIMENEZ, Florita, Réseau Indigène Bribri et Cabecar Red Indígena Bribri y Cabecar, RIBCA, Costa Rica NAÏT SID, Kamira, Présidente du Conseil Mondial Amazigh, Association Peuples des Montagnes du Monde, Algérie Modérateur CASTILLO HUERTAS, Ana Patricia, Féministe agraire, Guatemala Rapporteur GATUNDU, Catherine, ActionAid, Kenya 11 Réseau composé de 74 organisations de femmes agricultrices. Il a été constitué pour demander la mise en œuvre de leurs revendications notamment la redistribution des terres aux femmes, l’enregistrement de leurs droits, l’égalité d’accès aux services, mais aussi la création de centres de ressources communautaires pour promouvoir la justice de genre, à savoir la possibilité pour les femmes de faire des choix libres basés sur des capacités et aspirations individuelles. 12 La dernière marche des Marguerites en date s’est déroulée en août 2015 et a réuni 70000 femmes. Le Jardin Bio et Solidaire Notre Jardin de Cocagne, basé à Saint-Bernard à la Montagne, est membre du Réseau Cocagne qui regroupe plus d’une centaine de Jardins de Cocagne sur le territoire national. Se basant sur le cahier des charges de l’agriculture biologique et à vocation d’insertion sociale et professionnelle, notre exploitation maraîchère intègre les quatre points de la Charte nationale des Jardins de Cocagne. La force des Jardins de Cocagne est de participer à une dynamique de réseau national et de contribuer ainsi à la mutualisation permanente en partageant acquis, expériences et outils. La Charte Nationale des Jardins de Cocagne Lutter contre les exclusions et la précarité en mobilisant les conditions d’un retour à l’emploi durable de femmes et d'hommes en difficulté sociale et professionnelle, au moyen d’une activité valorisante. Produire des légumes dans le respect du cahier des charges de l’Agriculture Biologique. Commercialiser la production en priorité auprès d’un réseau d’adhérents-consommateurs. Intégrer et collaborer avec le secteur professionnel agricole local. Ensemble, cultivons la solidarité au Jardin de Cocagne de Saint-Bernard ! Au Jardin de Cocagne de Saint-Bernard les salariés en insertion, appelés Jardiniers, bénéficient d’un contrat à durée déterminée d’insertion durant lequel ils construisent un projet professionnel et sont remobilisés vers l’emploi grâce au maraîchage biologique. Les 35 Jardiniers sont encadrés par une équipe de professionnels de l’insertion et du maraîchage biologique et cultivent 5 hectares de terrain. C’est grâce à l’engagement annuel de plus d’une centaine d’adhérents-consommateurs et au soutien fort de nos partenaires institutionnels et privés que ce projet social existe. Au cœur de notre activité, il y a des femmes et des hommes de tout âge et de tout horizon, en situation précaire et rencontrant des difficultés d’ordre professionnel, social ou personnel. À travers la production de légumes biologiques, distribués sous forme de paniers hebdomadaires à des adhérents-consommateurs, le Jardin de Cocagne de Saint-Bernard permet à ces personnes de retrouver un emploi et de reconstruire un projet professionnel et personnel. Ils contribuent jour après jour à une économie locale et de qualité. En 2022, le Jardin poursuit son développement en lançant une unité de production de plants bio destinés aux adhérents et aux professionnels. DES LÉGUMES BIO, DE QUALITÉ ET DE SAISON Chaque semaine, les adhérents retrouvent dans leur panier un assortiment de légumes frais entre 6 et 9 variétés selon la taille choisie, récoltés à la main et à maturité, pour préserver leur goût et leurs qualités nutritionnelles. La composition du panier évoluant régulièrement, l’occasion est donnée de déguster une quarantaine de variétés de légumes sur l’année et certainement d’en découvrir certaines. JOURNÉES PORTES OUVERTES Régulièrement, le Jardin de Cocagne de Saint-Bernard ouvre ses portes au grand public. L’occasion de rencontrer les salariés en insertion et les bénévoles, de récolter en plein champ les fruits et légumes bio, de profiter des ventes directes ou de participer à des animations. Découvrez le Jardin en photos Découvrez le réseau Jardin de Cocagne en vidéo Nos partenaires Navigation de l’article

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